Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Voyage africain (suite)

Et là, nous retrouvons l'ambiance des grandes villes africaines. Nous sommes au bord de l'océan, le climat ici est difficile à supporter en raison de la moiteur de l'air.. On peut bien sûr se rafraîchir à l'aide des ventilateurs présents dans la maison, mais les coupures de courant sont fréquentes. Les plus riches ont un groupe électrogène, les autres attendent dans cette atmosphère saturée en humidité. Au loin, on entend des coups de tonnerre. Sans doute l'arrivée prochaine de la saison des pluies. Le lendemain, nous nous reposons: ballade en zem, déjeuner dans un restaurant au bord de la plage, courses. Le surlendemain, visite de notre projet au Bénin: un centre de formation pour adultes. Notre interlocuteur, Idrissou, est un jeune béninois, créateur d'une entreprise rentable, qui a tout laissé pour s'occuper d'action humanitaire auprès des siens. En discutant avec lui, je suis une nouvelle fois emmerveillée par ces jeunes africians qui se mettent au service des leurs. Après Iaovi et Alfred, c'est le troisième que nous rencontrons en une semaine. Avec des hommes de cette trempe, il y a beaucoup d'espoir pour ce continent! Mais l'heure avance, il nous faut rejoindre Lomé pour prendre l'avion qui nous ramène en France. Bref voyage, mais que d'enseignements et de souvenirs!

Commentaires

  • Cara Catherine
    Cumplimenti sull'articolo il tempo libero. è molto interessante, faccio un commento con le parole di
    George Carlin (May 12, 1937 - June 22, 2008). Ti chiedo scusa, il testo è in portoghese.
    "Nós falamos demais, amamos raramente, odiamos
    freqüentemente. Nós bebemos demais, gastamos sem critérios. Dirigimos rápido demais, ficamos acordados até muito mais tarde, acordamos muito cansados, lemos muito pouco, assistimos TV demais e raramente estamos com Deus. Multiplicamos nossos bens, mas reduzimos nossos valores.
    Aprendemos a sobreviver, mas não a viver; adicionamos anos à nossa vida e não vida aos nossos anos.
    Fomos e voltamos à Lua, mas temos dificuldade em cruzar a rua e encontrar um novo vizinho. Conquistamos o espaço, mas não o nosso próprio.
    Fizemos muitas coisas maiores, mas pouquíssimas melhores. (...) planejamos mais, mas realizamos menos.
    Aprendemos a nos apressar e não, a esperar.
    Construímos mais computadores para armazenar mais
    informação, produzir mais cópias do que nunca, mas nos
    comunicamos cada vez menos.
    Estamos na era do 'fast-food' e da digestão lenta;
    do homem grande, de caráter pequeno; lucros acentuados e relações vazias.
    Essa é a era de dois empregos, vários divórcios, casas
    chiques e lares despedaçados.(...) Um momento de muita coisa na vitrine e muito pouco na dispensa.
    Lembre-se de passar tempo com as pessoas que ama, pois elas não estarão aqui para sempre.
    Lembre-se dar um abraço carinhoso em seus pais, num amigo, pois não lhe custa um 'centesimo" sequer."
    Nella

Les commentaires sont fermés.